⭐⭐⭐⭐⭐ Noté 4.8/5 par des milliers d'amateurs d'art
Dans une visite guidée insolite qui vous fera découvrir une mystérieuse maison des années 50 transformée en galerie d'art contemporain
Découvrez une expérience artistique exclusive : une maison abandonnée des années 50 transformée en galerie secrète par 14 artistes, avec pièce cachée, photographie libre totale et groupes limités à 10 personnes.
Ils parlent de nos évènements
À Seulement Quelques Clics de...
1. Choisissez facilement le jour et le créneau horaire de votre visite
En quelques clics, sélectionnez le jour, le créneau horaire qui vous convient et réservez en toute sécurité.
2. Accédez instantanément à votre billet
Recevez automatiquement votre billet par mail. Pas besoin de l'imprimer : enregistrez-le sur votre téléphone et présentez-le à l'accueil au moment de votre visite.
3. Vivez une expérience unique, seul, en famille ou entre amis
Votre visite privée peut commencer. Prenez vos chaussures de marche, votre appareil photo et vos lunettes de soleil car vous allez être ébloui.
Ce qui fait de...
Imaginez pénétrer dans une authentique maison des années 50, conservée intacte avec ses moquettes d'époque et ses lustres vintage...
Et découvrir que 14 artistes contemporains l'ont transformée en œuvre d'art totale du sol au plafond.
Chaque pièce - salon, chambres, cuisine - devient un univers artistique unique où vous évoluez librement, photographiez sans restriction et découvrez l'art dans l'intimité d'un vrai foyer.
Vous visiterez l’exposition par groupes de 10 personnes, accompagnés d’un guide, pour une expérience intimiste, particulièrement propice à la découverte des artistes et à l’immersion dans leur univers.
Une expérience privilégiée où chaque détail compte et où vous pouvez vraiment vous imprégner de chaque création.
Les artistes ont métamorphosé l'espace entier - murs, plafonds, sols deviennent œuvre d'art.
Vous marchez dans l'art, vous le respirez, vous découvrez chaque détail en évoluant librement dans des créations qui vous entourent complètement.
Vous explorerez une véritable maison des années 50 conservée dans son jus.
Moquettes d'époque, lustres vintage, mobilier authentique... et même une pièce secrète derrière une bibliothèque coulissante !
Ce décor exceptionnel dialogue avec l'art contemporain dans un jeu temporel fascinant.
Ce qui vous attend lors de
Une maison des années 50 entièrement préservée - Murs matelassés, moquettes d'époque, mobilier authentique... Un cadre exceptionnel pour une expérience artistique hors du commun !
Un contraste saisissant entre passé et présent - L'art contemporain dialogue avec l'architecture des années 50 dans un jeu temporel fascinant.
Chaque pièce transformée en univers artistique unique - Nos jeunes artistes contemporains ont investi salon, chambres, cuisine... Autant d'atmosphères uniques à découvrir !
Visites guidées limitées à 10 personnes par groupe - Pour une expérience intimiste et didactique.
Théo Boccaletti, connu sous le nom d’artiste Arôme, est né en 2001. Nourri au chaos doux de la peinture et aux cris silencieux du bitume, il tatoue, peint, et crie en couleurs...
Depuis l’enfance, l’art coule dans ses veines comme un antidote au bruit du monde.
Formé sur les bancs des écoles d’art mais façonné dans les marges, il oscille entre techno crue et rêves enfumés, entre punk spirituel et néo-expressionnisme brutal. Chaque trait est un souvenir griffé, chaque toile une cicatrice posée à plat.Influencé par le bas-fond poétique – l’underground, le feu intérieur – Arôme peint comme on hurle : sans filtre, avec tout ce qu’il reste quand les masques ont brûlé. Dans ses œuvres, les couleurs s’entrechoquent, les formes hurlent, les matières saignent la rue et l’intime. Pastels gras, encre noire, acrylique : ses outils sont les armes d’un combat sans drapeau, mais pas sans cause. Tout est politique. Tout est personnel. Tout est poésie brute.Artiste plasticien et muraliste, il puise son inspiration dans les marges, les silences urbains et les cicatrices sociales. Son travail explore la frontière entre beauté brute et violence symbolique, mêlant figuration expressive, abstraction organique et poésie visuelle. Chaque fresque est pour lui un manifeste : un cri, une offrande, une tentative de réenchanter l’espace public par l’art.Son approche artistique s’ancre profondément dans une démarche de création in situ, où chaque mur devient une toile vivante, chargée d’histoires et d’émotions. Il s’efforce de capter l’essence des lieux et des communautés, transformant l’espace urbain en un théâtre d’expression libre et authentique
L’artiste Caraveoh, Isaac Caraveo Herrera, originaire de Guadalajara, au Mexique, vit et travaille à Paris depuis 2019. Après des études supérieures d’art au Mexique,
l’artiste intégra l’École des Beaux-Arts de Versailles dont il sortit diplômé en 2024 avec les félicitations du jury à l’unanimité.Son travail artistique se caractérise par une recherche constante entre abstraction lyrique et figuration libre. Sa pratique artistique se nourrit de mémoires, d’émotions et de rencontres, cherchant à déconstruire et assembler différents éléments de façon à révéler et faire partager une émotion à travers des parcours, des installations immersives et des compositions qui laissent la place à la sincérité. Son travail est une invitation à déconstruire et reconstruire le souvenir pour retrouver l’essentiel.L’artiste expose aussi bien en France qu’à l’étranger : en Corée du Sud, à Jinju, pour « Le goût du kimchi », à Naju et Séoul, en Chine, à Qing Dao Shi et au Mexique aussi à Guadalajara, sa ville natale.
Combo Culture Kidnapper, né en 1987, fils d’un père libanais chrétien et d’une mère marocaine musulmane, est un adepte du street-art depuis ses 16 ans. Diplômé de la prestigieuse Villa Arson,
Combo commence un parcours de graffeur sur la Côte d’Azur.Les explorations artistiques de Combo gravitent essentiellement autour du concept de détournement. Il aime se jouer des stéréotypes et pratique un art en rupture, qui marque les esprits, avec des créations audacieuses, engagées et drôles. Avec habileté, il manipule des symboles universellement reconnus, y intégrant des éléments étrangers, souvent issus de l’univers des bandes dessinées ou des jeux vidéo, modifiant ainsi radicalement leur signification originale. Son obsession artistique est de favoriser l’interaction, tandis que son objectif ultime est de présenter un art ouvert à tous, pouvant être adopté et remodelé par chacun, créant ainsi une plateforme dynamique pour la transformation.En France, après l’attentat de Charlie Hebdo, Combo se fait remarquer avec son logo pacifiste « Coexist », jouant avec les symboles des trois principales religions monothéistes : un croissant musulman (pour la lettre C), une étoile de David (pour la lettre X) et une croix chrétienne (pour la lettre T). Cette œuvre, reprise depuis aux quatre coins du monde et exposée à l’Institut du Monde Arabe, lui vaudra pourtant d’être tristement agressé à Paris, Porte Dorée.En faisant appel à des symboles de la pop culture, Combo s’attaque aux injustices de notre société en proposant une lecture subversive et engagée, mais jamais moralisatrice. Il porte l’espoir de la fraternité entre les hommes en dépassant tous les clivages religieux ou communautaires, pour mettre en valeur ce qui nous rassemble, la singularité de ce que nous avons en commun : notre humanité.En 2021, Combo créa l’association Colors Festivals, dont l’objectif est la création d’expositions éphémères immersives de street art. Des expositions ont été réalisées à Paris, mais aussi à Bordeaux et à Tours, ainsi qu’en Angleterre, à Manchester et à Londres, dans le fameux quartier de contre-culture Camden.
Jonathan Renard est un jeune artiste peintre liégeois, né en août 1997, avec une filiation italienne du côté de sa mère. L’artiste est un autodidacte de la vie. Il apprit seul la peinture sur toile, le street art, mais aussi,
cinq langues étrangères qui se sont ajoutées aux deux autres : l’allemand, appris à l’école, et l’italien, appris avec ses grands-parents.Le voyage, symbole de communication avec l’autre, occupe une place importante dans son œuvre artistique. Un carnet l’accompagne toujours, et c’est en Colombie qu’un déclic survint : des formes apparurent à côté des mots qu’il écrivait, le guidant ainsi vers la peinture. Son alias, Con Certeza (« Avec certitude », en espagnol), provient de cette évolution. Ce tournant dans sa vie, il le doit à la lecture d’un livre en 2018 de l’écrivain et aventurier français Patrice Franceschi, qui poussa l’artiste en devenir à parcourir les routes du monde de manière effrénée.En novembre 2024, grand moment d’émotion pour l’artiste : il reçut sa première commande pour une fresque murale dans le petit village maternel d’Italie, Gallinaro. L’art y occupe une place particulière, puisque le village connut une émigration de modèles qui posèrent pour des peintres tels que Matisse, Degas ou Magritte.Le jeune artiste s’est nourri des œuvres de maîtres comme Paul Gauguin (1848-1903) et Edvard Munch (1863-1944), peintre et graveur, pionnier de l’expressionnisme norvégien. Il affectionne le chaos et le laid, car ce sont les endroits où l’humain se révèle pleinement.Imprégné d’humanisme, il souhaite travailler pour vibrer, ressentir et partager toutes les émotions qu’il observe lors de ses voyages proches ou lointains. Son travail est fait de lignes, de courbes et de couleurs qui s’animent, donnant naissance à des œuvres figuratives ou abstraites qui nous invitent à suivre le mouvement. Ces mouvements, posés par l’artiste, nous livrent les émotions qui l’habitent, nous invitant ainsi aux voyages et aux rencontres.Finissons par ces mots de l’artiste :
« J’aime peindre comme je voyage, les choses que je vois, que je ressens. »
Plasticien et street artist, Djalouz est né en 1985. Parallèlement à l’obtention de son diplôme de dessinateur maquettiste, il débute le graffiti en 2003, inspiré directement par la jeune scène montante graffiti hexagonale et européenne,
mais aussi par l’univers de la bande dessinée.La bombe de peinture est son outil de prédilection, car elle est le médium idéal pour la peinture en grand format et lui laisse surtout une grande liberté quant au choix des supports. Les lieux abandonnés, usés par le temps, les friches et usines laissées aux mains de la nature lui ouvrent de nouvelles perspectives.En 2009, il met de côté son travail figuratif pour développer une approche plus abstraite, au travers de formes en volume circulant et se matérialisant dans des lieux incongrus. Dès lors, il s’efforce de sortir le graffiti de ses conventions en le faisant évoluer du sol au plafond. La photographie joue un rôle essentiel dans la transcription de ces émotions, laissant une trace de ces œuvres vouées à disparaître.La rue est son aire de jeux. Il y trouve différentes surfaces qui lui permettent de matérialiser son œuvre. Avec la toile, il plonge dans le châssis et lui transmet une âme, inspirée de ces mêmes murs de friches marqués par le temps. Jamais réellement achevé, son champ d’expérimentation n’a pas de limites. Car même s’il n’y a plus ni toiles ni murs, reste la voie ouverte de son imagination.
Toujours autonome et autodidacte, je pratique mon art de manière indépendante. C’est d’ailleurs cette liberté qui m’a toujours poussé à produire. J’ai toujours vu l’art comme un moyen d’expression sans mots, qui retranscrit ce qu’il y a au plus profond de l’âme,
même s’il a mis du temps à apparaître à mes yeux comme une évidence.C’est d’abord sur le dessin que s’est manifestée cette expression, depuis toujours, de manière spontanée, plus ou moins abstraite. Puis sont venues les années de l’adolescence où je découvre le graffiti et la peinture à la bombe, première étape dans ma découverte de la matière. À cette époque, mes préoccupations sont bien loin des cours de peinture, mais je commence à me familiariser avec ce milieu par la production.C’est alors qu’un soir, rentrant d’une séance de peinture en plein air, je découvre chez un ami une toile peinte à l’acrylique qui lorgne d’autres rangées plus en retrait. Un coup de foudre me traverse. Je m’étais toujours dit que ces choses-là n’étaient pas pour moi, mais impossible de me contenir : je fonce dès le lendemain chez le marchand et achète le matériel nécessaire pour me lancer dans la peinture acrylique. Je commence donc à produire, entre pinceaux et pochoirs, sur des bouts de tissus que je peux garder pour ma famille, mes amis ou moi. Petit à petit, de plus en plus de personnes voient mon travail et m’encouragent à booster ma production, et pourquoi pas à me lancer.J’intègre des ateliers qui me permettent d’enrichir mes connaissances, ayant tout appris moi-même jusque-là. Ces expériences me donnent de la confiance, fréquentant des artistes qualifiés de ce milieu qui reconnaissent mon travail. L’oiseau fait son nid, étape par étape, bien conscient du décalage qu’il peut y avoir mais déterminé par la passion de la matière.Il y a le travail en parallèle, qui ne laisse que très peu de place dans une vie déjà bien remplie pour mes désirs d’apprentissages plus larges et de productions intenses. Dans ma tête, les inspirations fusent. Je reste pendant quelques temps prisonnier de ce système qui me restreint à me contenter de ce que j’ai, et qui ne me permet pas d’explorer au-delà. Un aperçu de mes productions jusqu’alors est disponible en cliquant sur le lien un peu plus haut.C’est alors qu’arrive la pandémie de Covid-19, qui fait résonner l’art dès lors comme une évidence dans ma tête. Il est temps de me lancer, de lâcher ce travail purement alimentaire afin de pouvoir m’émanciper dans mon art, afin de devenir ce que je suis. J’en profite pour enfin directement me mettre à l’huile, cette matière qui me fait autant rêver que frissonner de par sa complexité. Et c’est le coup de foudre immédiat : j’ai la sensation de redécouvrir l’art, de voyager dans le temps, d’être au sommet du travail du pigment, de l’ébauche à la pleine pâte, en passant par la demi-pâte, les glacis, les vélatures, etc.À force de travail, de recherches et d’expériences, je trouve mes bases. Je m’y consacre désormais corps et âme, et vous présente donc ici le résultat de ces années d’expérimentations, de réalisations et de concrétisation de ce rêve éveillé : celui de vivre de sa passion.Florian Casteran
Née à Paris en 2005, Garance Baud a développé dès son plus jeune âge une passion pour l’art dans tous les domaines : musique, peinture, sculpture… En 2020, elle entre à l’école Boulle pour une formation aux métiers d’art en sculpture sur bois. Elle y reçoit un apprentissage d’excellence où
elle apprend le modelage et le dessin, à mener des projets avec rigueur et à développer sa créativité.Son activité a commencé il y a quelques mois, et elle réalise depuis des modèles uniques en céramique qui explorent l’impact des rêves et des émotions sur le corps. Le monde onirique est un point fondamental de ses créations, afin d’explorer des émotions et des postures qui reflètent, au réveil, les songes d’une nuit passée.Sa démarche artistique mêle souvent une approche traditionnelle de la sculpture à des concepts contemporains, créant des œuvres qui interrogent la relation entre l’humain et son inconscient. Son travail se distingue par une attention minutieuse aux détails et une capacité unique à insuffler du mouvement à des formes inanimées. L’artiste puise son inspiration dans les rêves, l’anatomie humaine et les émotions.
Gobym, de son vrai nom Marion, est une artiste peintre basée en France, née en 1999, passionnée dès son enfance par le dessin. Très tôt, elle ressentit le besoin de créer, d’exprimer ce qu’elle observait à travers les formes et les couleurs.
Naturellement attirée par les métiers créatifs, elle fit des études de design produit de 2018 à 2023, lui conférant un diplôme de designer industriel.Une carrière dans le design semblait toute tracée, mais elle choisit de suivre une autre voie, celle de son cœur. En septembre 2023, elle décida de se consacrer pleinement à la peinture, une pratique qu’elle n’avait jamais cessée.En 2024, elle rejoignit « Le Cercle des Artistes » à Paris et participa à ses premières expositions. La même année, elle présenta également son travail en Australie, à travers deux expositions à Sydney et à Melbourne.Les créations de Gobym représentent des visages colorés qui s’emboîtent comme les pièces d’un puzzle. Son style forme presque un motif en mouvement, où chaque visage peut en dissimuler un autre. À travers cette mosaïque, elle explore la diversité et cherche à créer un univers accessible, dans lequel chacun peut se reconnaître.
En partant sur les traces du photographe Kares Le Roy, vous pénétrez dans un monde où respect et tendresse sont les maîtres mots. Le photographe maîtrise parfaitement l’art du portrait, lui permettant ainsi de nous livrer les émotions...
des personnes qu’il rencontre au gré de ses aventures profondément humaines. Mais il nous présente aussi l’environnement dans lequel ces personnes vivent, avec un regard attachant et plein de sensibilité. En 2025, Kares Le Roy a parcouru des milliers de kilomètres pour offrir à nos yeux et à nos sens les photographies qu’il a prises au travers de quatre livres et d’un film documentaire.Né en 1981, Kares Le Roy commença sa carrière comme graphiste et directeur artistique pour le compte de l’agence 555Lab, en charge de donner une identité à des artistes et des marques, principalement dans l’industrie de la musique mais aussi dans la mode. Au bout de huit ans, il arrêta tout pour se consacrer au voyage. Il souhaitait quitter les carcans qui lui étaient imposés, et cela prit le pas sur tout le reste. Son travail s’inscrit depuis dans l’ethnographie.En 2011 sortit son premier ouvrage, 56 000 kilomètres, un continent et des hommes. Il quitta Paris en juillet 2009 dans le but de réaliser des portraits de visages oubliés. Cet ouvrage est le résultat de deux années de voyage hors des sentiers battus. Il fut ainsi amené à observer la culture tibétaine, le nomadisme d’Asie centrale, à rencontrer les peuples longeant la célèbre route de la soie, du Népal aux steppes de Mongolie, et à découvrir la spiritualité qui s’étend du bouddhisme à l’islam.Trois ans plus tard, Kares Le Roy retourna au Népal afin de réaliser un documentaire sur Bajay, la grand-mère qu’il rencontra lors de son précédent voyage et dont le portrait, qui fut la couverture de son livre, émut le public. Bajay, ma grand-mère des Annapurna relate l’histoire de cette femme qui vit au pied des montagnes de l’Himalaya. Ce documentaire ethnographique montre la vie de Bajay et les valeurs profondément ancrées en elle. C’est une ode à l’amour et à la transmission.En 2015, parut son deuxième ouvrage, Ashayer – qui signifie « nomade » en persan. Il réalisa ce voyage sur seize mois dans un van qu’il avait lui-même aménagé. Cet ouvrage est une épopée photographique sur les derniers nomades qui peuplent les paysages de l’ancienne Perse et de l’Asie centrale. Ce livre se veut être la mémoire de ces peuples que la globalisation mondiale tend à faire disparaître.En 2019, il publia son troisième ouvrage, Iran Immortel, consacré à ce pays au passé légendaire et berceau de nos civilisations. À travers une série de portraits, de scènes de vie et de paysages réalisés jusqu’aux confins de ce vaste territoire, le photographe nous révèle la poésie et la mythologie qui y sont profondément ancrées. Ce livre-mémoire d’un pays ancestral nous rappelle que l’ancienne Perse a su traverser les époques sans perdre de son éclat.Enfin, en 2023, parut son dernier ouvrage, Cabanes. Cet ouvrage raconte l’épopée du photographe parti sillonner la France, de cabanes en cabanes, avec sa famille dans sa jeep, voyage pendant lequel son fils est né. Les cabanes ont cette pureté d’être instantanément intégrées dans le paysage dans lequel elles se trouvent : près d’un lac, sur une branche d’arbre, dans les profondeurs d’une forêt, dans une montagne… Elles sont propices aux rêves, à l’imagination, à l’oubli d’un quotidien souvent superficiel.
Fils d’un père qui réalisait, à l’époque à la main, les affiches publicitaires d’un magasin de grande distribution et qui faisait de la photographie, Kundo baigna très tôt dans ce monde artistique.
La période du confinement lui permit de faire le point sur lui-même et de prendre conscience de ce qu’il désirait réaliser dans sa vie. Après avoir pratiqué le lettrage, il s’orienta vers des peintures à l’aérosol figuratives et très colorées. Son père voit dans l’activité artistique de son fils la continuité de ce qu’il faisait.Le pseudo de l’artiste est issu du Jeet Kune Do, « voie du poing qui intercepte ». Le Jeet Kune Do est un concept martial, et non pas un sport ni un art martial traditionnel. Il fut créé par Bruce Lee en 1967 : le principe est d’intercepter les mouvements de l’adversaire avant qu’il ne touche, d’arriver premier en partant second.Kundo possède un sens aigu de l’esthétique. Il a le souhait d’embellir la ville où il habite, Bondy, afin de vivre dans un environnement qui dégage des énergies positives, améliorant ainsi la vie au quotidien. C’est dans cet état d’esprit que l’artiste réalise ses œuvres, en prenant le temps de s’imprégner du lieu et en y mettant de la couleur.Kundo réalise régulièrement des fresques murales le long du canal de l’Ourcq, son lieu de prédilection.
Ayant débuté sa carrière artistique par le graffiti dans les rues et les souterrains de Paris à la fin des années 2000, Zokay a diversifié ses pratiques pour devenir designer multimédia.
Aujourd’hui, de retour à ses premières amours, son travail s’articule autour de la lettre, du graffiti à la calligraphie, avec une touche de bitume qui ne peut jamais s’éloigner trop loin !L’abstraction se mêle aux caractères typographiques au service de la composition. Multipliant les supports et les émotions, il utilise souvent des paroles de chansons comme base de ses créations. Vous pouvez y trouver des rimes d’Oxmo Puccino, Scylla, Georgio ou des textes de Billie Holiday, Nina Simone ou Bob Marley… si vous arrivez à les déchiffrer !
Meln, de son vrai nom Mélanie Lehen, est une artiste basée à Créteil, en région parisienne. Née en 1995, elle a toujours été attirée par l’art et la spiritualité. C’est donc tout naturellement qu’elle obtint...
un diplôme de vitrailliste et graphiste, qui lui servit de fondements à sa carrière d’artiste.La créativité de l’artiste s’exprime au moyen de médiums et d’outils variés, et à travers des formats dont la taille varie du très petit au XXL. Son travail possède plusieurs facettes : street-artiste, vitrailliste, illustratrice, tatoueuse.Cette créativité trouve sa source dans les lectures de l’artiste, principalement consacrées aux mythologies, aux spiritualités, aux folklores et aux traditions ancestrales. À travers ses œuvres, elle souhaite transmettre de la féerie à ceux qui les regardent, et amener chacun à une réflexion sur soi, sur le monde qui l’entoure et sur l’au-delà.L’artiste a une philosophie : l’émerveillement, qu’elle aimerait voir s’installer partout.
Moyoshi est un artiste français autodidacte. Il s’intéressa à l’art grâce à la musique, mais s’en lassa rapidement et trouva dans le graffiti une liberté d’expression qu’il affectionne.Son approche créative est imprévisible...
Il est inspiré par la connexion entre le monde végétal et le monde animal. Sa technique emprunte à l’art primitif, abstrait et brut, et son univers artistique véhicule l’idée d’un renouveau de la nature qui reprendra un jour ou l’autre ses droits sur nous.Le motif de l’œil est récurrent dans ses œuvres. Ce regard a pour objet de nous interpeller, de nous rappeler que la nature est là et qu’elle nous observe. Il compare souvent ses œuvres à « des mauvaises herbes qui poussent en bas des murs et qui un jour les feront tomber ».Son processus de création est instinctif : il se laisse porter par une musique qu’il choisit, et son corps suit cette osmose entre l’artiste, ses pensées et la musique.Actuellement, Moyoshi s’intéresse à l’anamorphose afin de tromper la vue des observateurs.
Roka est un artiste gra"ti de 29 ans basé à Beauvais.
Membre du Cache Misère Crew et de l’association Rêve Lucide, l’artiste se consacre pleinement à la
peinture depuis 2019. Passionné par la lettre à l’origine, il intègre au fil du temps des personnages et du
décor,
ce qui l’amène à réaliser de grandes fresques. Entre façades et murs plus modestes l’artiste Rokad
organise de nombreux événements dans l’Oise afin de promouvoir les artistes et la culture de la fresque
gra"ti.
Récemment, il intègra le Gamex, un Crew International originaire d’Amérique du Sud.
IDEAL POUR SORTIR À PARIS
"Une expérience inédite, pleine de découvertes artistiques et surtout, expliquées par une médiatrice géniale. Ça donne un autre regard à des œuvres qu’on trouve déjà intrigantes au premier abord: les comprendre et voir leur petite touche d’ironie, de sens, c’est incroyable! Merci Colors encore pour cette expérience vivifiante!"
"Super expo réunissant plein d'artistes qui se sont donné a cœur joie dans différent appartement."
"Un immense bravo à l'équipe pour ce nouvel événement ! C'est original et c'est SOMPTUEUX ! Et le fait de faire des petits groupes pour la visite permet de profiter pleinement des oeuvres."
"Superbe exposition de street art dans un endroit insolite ! Je recommande cette balade artistique, j'ai adoré ! Guide au top !"
"Une véritable expédition artistique en plein quartier latin, des œuvres très différentes et époustouflantes"
Nos évènement ont conquis plus de 180k+ visiteurs
“Spot d’art urbain XXL ! Prêts à en prendre plein les yeux ?”
“Une exposition immersive exceptionnelle”
“Une expérience ludique et immersive”
“Un festival où petits et grands pourront se régaler !”
Roadmap est ouvert les week-ends, jours fériés et pendant les vacances scolaires. Samedi et Dimanche : 10h00 - 18h00 Créneaux de visite de 2h toutes les 2 heures.
La visite dure environ 2h pour profiter pleinement de cette expérience unique.
Oui, cette exposition convient à toute la famille ! L'atmosphère de la maison des années 50 fascine autant les enfants que les adultes.
Oui c'est même recommandé ! Cette maison offre des décors uniques. Si vous les partagez sur les réseaux, n'oubliez pas de créditer @colorsfestival.paris et l'artiste auteur de l'œuvre.
Vous pouvez venir seul ou accompagné, mais vous ferez partie d'un groupe de 10 personnes maximum pour effectuer la visite guidée.
Nous n’avons pas de consigne à disposition et ne pouvons donc pas garder les sacs pendant la visite.
Non, les animaux ne sont pas acceptés.
Non, il n'y a qu'un seul tarif disponible.
Le Lieu
11 boulevard Maréchal Foch